Trois yeux rouges flamboyants dans une nuit sans fin
Trois rubis de sang dans un éternel oubli
Une trinité maligne, au nom de la haine , du mépris
Un dogme sanglant assis sur la terreur le meurtre et l'envie
Trois pierres pourpres qui t'enserrent, te déchirent tout au long d'une vie
Trois esprits qui se complaisent dans les tourments d'un monde perdu
Une force brute qui s'impose dans l'âme, une violence sans nom
Une ère glacée et teintée d'horreur souffle la flamme de ton être, sans raison
Trois yeux rouges luisants dans ma vie, trois étoiles ternies
Trois yeux rouges gravés dans l'esprit, constellation du maudit
trois yeux rouges me fixant tel un proscrit ...
Bienvenu sur ce blog, ici textes et mots couchés sur l'écran pour un voyage au cœur de l'imaginaire. Bonne route...
lundi 20 septembre 2010
vendredi 3 septembre 2010
Une divagation
Balloté entre plusieurs idées confuses
Harcelé par toutes ces pensées diffuses
Quand s'entrechoquent ces sensations contraires
Quand s'entremêlent ces possibilités infinie
Enroulées tels les anneaux d'un serpent endormi
Se percutant aux carrefours de l'esprit visionnaire
Un radeau étrange dans une mer de choix
Un esquif à la dérive en ce drole d'endroit
Le jour et la nuit ne sont plus que concept dans cet univers intérieur
Le mort , la vie , une simple histoire de cycles et de peurs
Et en ce voyage aux confins de la folie humaine
En ce chemin que l'on suit au gré d'une divagation
Cette excursion ou l'on se laisse guider par la peine
Ce sentier que certains s'usent à nommer la raison
Les spirales de ténèbres se déplacent dans le vide de ma tête
Leur souffle m'entraine toujours plus loin vers l'horreur
Dans ces cyclone aucun œil pour souffler et mesurer l'ampleur
Les dégâts n'apparaissent qu'au lendemain de la tempête
Tout se déchire comme un voile
Tout s'éteint dans un râle
Le tout n'est plus rien
Le vide se teinte de plein
Les idées courent et s'emballent
Avalanches qui déferlent
L'esquif s'échoue alors au iles du réel
S'ancrent en ces mondes froid et de tenebres
Plus dur est le reveil au revenir de ces diggressions
Une parenthèse dans un univers gris et sous pression
Un échappatoire indispensable face à la raison
Un voyage personnel, une évasion temporaire , une simple divagation...
Harcelé par toutes ces pensées diffuses
Quand s'entrechoquent ces sensations contraires
Quand s'entremêlent ces possibilités infinie
Enroulées tels les anneaux d'un serpent endormi
Se percutant aux carrefours de l'esprit visionnaire
Un radeau étrange dans une mer de choix
Un esquif à la dérive en ce drole d'endroit
Le jour et la nuit ne sont plus que concept dans cet univers intérieur
Le mort , la vie , une simple histoire de cycles et de peurs
Et en ce voyage aux confins de la folie humaine
En ce chemin que l'on suit au gré d'une divagation
Cette excursion ou l'on se laisse guider par la peine
Ce sentier que certains s'usent à nommer la raison
Les spirales de ténèbres se déplacent dans le vide de ma tête
Leur souffle m'entraine toujours plus loin vers l'horreur
Dans ces cyclone aucun œil pour souffler et mesurer l'ampleur
Les dégâts n'apparaissent qu'au lendemain de la tempête
Tout se déchire comme un voile
Tout s'éteint dans un râle
Le tout n'est plus rien
Le vide se teinte de plein
Les idées courent et s'emballent
Avalanches qui déferlent
L'esquif s'échoue alors au iles du réel
S'ancrent en ces mondes froid et de tenebres
Plus dur est le reveil au revenir de ces diggressions
Une parenthèse dans un univers gris et sous pression
Un échappatoire indispensable face à la raison
Un voyage personnel, une évasion temporaire , une simple divagation...
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