Entre renouveau et airs de l'ancien temps , quand s'entremêlent ces sentiments oubliés
Balloté d'un univers à l'autre , échoué sur la presqu'île de mes idéaux défunts et déchus
Happé dans ces océans de détresse et d'absence , saisissant la folie au creux des vagues
Pareille à l'écume de ces jours perdus, une démence toujours plus grande et accrue
Entrainé dans ces vertiges abyssaux , noyé dans ces fosses emplies de maux
Dans l'abandon du moindre espoir , suivant la longue descente vers les fonds
Un sentiment d'absence teinté d'oubli, partir vers les profondeurs et leurs ivresses
Une émotion dérangeante drapant une vie, plonger alors sans peur ni détresse
Toucher les fonds inexplorés de ces lieux oubliés, sentir ce vide et hurler
Lieux ou nul bruit ne vient troubler le silence pesant, sentir les flots et dériver
Voguant d'idée en idée au gré des vent de mes divagations
Voir en rêve cette descente aux enfers marins le long de mon vague à l'âme
Fendre alors cette brume lourde affleurant mon esprit percé, ne vivre que pour écoper
Filer sur l'océan de vie, sillonner ces étendue vastes , ne vivre que pour voyager
Bercé par le bruit des vagues léchant la coque de mes idées
Ne sentant pas l'eau par la soute monter, repartir alors vers ces fonds désolés...
Bienvenu sur ce blog, ici textes et mots couchés sur l'écran pour un voyage au cœur de l'imaginaire. Bonne route...
mardi 7 décembre 2010
mercredi 27 octobre 2010
une chute
Le roi des fous une fois de plus à frappé
Étreignant encore la fibre sensible
Tranchant alors ces cordons qui nous relient et nous animent
Le monarque déchu , au bas du trône de son ego
Enchaîné au siège de pierre de son esprit malade
Tirant encore sur ce fil ténu et toujours plus fin
Et quand en son for intérieur s'effilochent les ténèbres et les ombres
Quand sous ses yeux se dévoile alors le monde
Une plaine vaste et glacées ou errent les fantômes d'idées passées
Un tertre érigé aux espoirs perdus à tout jamais
Un tombeau pour ces joies tuées avant de naître
Un trou sombre qui se repaît d'âmes damnées
Perché au dessus de l'abîme affamée se tient le suzerain éveillé
Perdu dans cette noire contemplation , quand le néant se pare d'envie
Prostré face au miroirs de ses échecs, reflets d'une existence stérile et de châteaux de cartes
Voguant dans ces océans de haines , ces creusets bouillonnant , berceau du léviathan
Voilé de noirceur, touchant le fond de lui même , embourbé dans sa peur du monde
Voyageant de malheur en désespoir , ses ailes brûlées de l'intérieur
Suspendu à ses chaînes ,le trône pris de poussière et les yeux dans les étoiles si lointaines
Hurlant aux vents glacés sa peine, un râle étouffé par les sanglots
Perdant enfin la notion du temps et pleurant à peine, s'éteint celui qui fut son propre souverain....
Étreignant encore la fibre sensible
Tranchant alors ces cordons qui nous relient et nous animent
Le monarque déchu , au bas du trône de son ego
Enchaîné au siège de pierre de son esprit malade
Tirant encore sur ce fil ténu et toujours plus fin
Et quand en son for intérieur s'effilochent les ténèbres et les ombres
Quand sous ses yeux se dévoile alors le monde
Une plaine vaste et glacées ou errent les fantômes d'idées passées
Un tertre érigé aux espoirs perdus à tout jamais
Un tombeau pour ces joies tuées avant de naître
Un trou sombre qui se repaît d'âmes damnées
Perché au dessus de l'abîme affamée se tient le suzerain éveillé
Perdu dans cette noire contemplation , quand le néant se pare d'envie
Prostré face au miroirs de ses échecs, reflets d'une existence stérile et de châteaux de cartes
Voguant dans ces océans de haines , ces creusets bouillonnant , berceau du léviathan
Voilé de noirceur, touchant le fond de lui même , embourbé dans sa peur du monde
Voyageant de malheur en désespoir , ses ailes brûlées de l'intérieur
Suspendu à ses chaînes ,le trône pris de poussière et les yeux dans les étoiles si lointaines
Hurlant aux vents glacés sa peine, un râle étouffé par les sanglots
Perdant enfin la notion du temps et pleurant à peine, s'éteint celui qui fut son propre souverain....
jeudi 14 octobre 2010
Voyages
Partir encore sur ces chemins ombragés , sentiers appelant le désespoir
Courir de nouveau entre ces arbres frappés par la foudre , brulés au cœur
Marcher encore dans des traces anciennes d'une existence oubliée
Sentir la morsure du froid tailler mes veines, lentement s'insinuer
Chérir encore cette voie retranché dans de sombres pensées, toujours plus noires
M'en aller au loin de cette lumière qui brule et fait fondre la carapace
Partir encore en ces routes enneigées ou le blizzard aveugle les âmes
Courir de nouveau sur ces pics ou s'écrasent les éclairs au cœur de la roche
Redécouvrir ces contrées ou le blanc des neiges se fond dans la nuit tombante
Chercher ces traces de pas d'un voyage antérieur, une nouvelle quête de soi
Oublier le bruit des villes ou s'agitent ces démons intérieurs, idées futiles
Lutter contre le froid régnant enveloppé du manteau d'argent, corps fébrile
Partir encore sur ce chemin glacé, m'enfuir sur la lande désolée et avenante au gré de mes pensées
Courir de nouveau le long des falaises et plonger alors au cœur de mon esprit
Partir alors selon ma folie , jouer sur le fil de la vie et en rire
Courir au bout de ma démence m'en nourrir et en vivre...
Courir de nouveau entre ces arbres frappés par la foudre , brulés au cœur
Marcher encore dans des traces anciennes d'une existence oubliée
Sentir la morsure du froid tailler mes veines, lentement s'insinuer
Chérir encore cette voie retranché dans de sombres pensées, toujours plus noires
M'en aller au loin de cette lumière qui brule et fait fondre la carapace
Partir encore en ces routes enneigées ou le blizzard aveugle les âmes
Courir de nouveau sur ces pics ou s'écrasent les éclairs au cœur de la roche
Redécouvrir ces contrées ou le blanc des neiges se fond dans la nuit tombante
Chercher ces traces de pas d'un voyage antérieur, une nouvelle quête de soi
Oublier le bruit des villes ou s'agitent ces démons intérieurs, idées futiles
Lutter contre le froid régnant enveloppé du manteau d'argent, corps fébrile
Partir encore sur ce chemin glacé, m'enfuir sur la lande désolée et avenante au gré de mes pensées
Courir de nouveau le long des falaises et plonger alors au cœur de mon esprit
Partir alors selon ma folie , jouer sur le fil de la vie et en rire
Courir au bout de ma démence m'en nourrir et en vivre...
lundi 20 septembre 2010
Pourpre trinité
Trois yeux rouges flamboyants dans une nuit sans fin
Trois rubis de sang dans un éternel oubli
Une trinité maligne, au nom de la haine , du mépris
Un dogme sanglant assis sur la terreur le meurtre et l'envie
Trois pierres pourpres qui t'enserrent, te déchirent tout au long d'une vie
Trois esprits qui se complaisent dans les tourments d'un monde perdu
Une force brute qui s'impose dans l'âme, une violence sans nom
Une ère glacée et teintée d'horreur souffle la flamme de ton être, sans raison
Trois yeux rouges luisants dans ma vie, trois étoiles ternies
Trois yeux rouges gravés dans l'esprit, constellation du maudit
trois yeux rouges me fixant tel un proscrit ...
Trois rubis de sang dans un éternel oubli
Une trinité maligne, au nom de la haine , du mépris
Un dogme sanglant assis sur la terreur le meurtre et l'envie
Trois pierres pourpres qui t'enserrent, te déchirent tout au long d'une vie
Trois esprits qui se complaisent dans les tourments d'un monde perdu
Une force brute qui s'impose dans l'âme, une violence sans nom
Une ère glacée et teintée d'horreur souffle la flamme de ton être, sans raison
Trois yeux rouges luisants dans ma vie, trois étoiles ternies
Trois yeux rouges gravés dans l'esprit, constellation du maudit
trois yeux rouges me fixant tel un proscrit ...
vendredi 3 septembre 2010
Une divagation
Balloté entre plusieurs idées confuses
Harcelé par toutes ces pensées diffuses
Quand s'entrechoquent ces sensations contraires
Quand s'entremêlent ces possibilités infinie
Enroulées tels les anneaux d'un serpent endormi
Se percutant aux carrefours de l'esprit visionnaire
Un radeau étrange dans une mer de choix
Un esquif à la dérive en ce drole d'endroit
Le jour et la nuit ne sont plus que concept dans cet univers intérieur
Le mort , la vie , une simple histoire de cycles et de peurs
Et en ce voyage aux confins de la folie humaine
En ce chemin que l'on suit au gré d'une divagation
Cette excursion ou l'on se laisse guider par la peine
Ce sentier que certains s'usent à nommer la raison
Les spirales de ténèbres se déplacent dans le vide de ma tête
Leur souffle m'entraine toujours plus loin vers l'horreur
Dans ces cyclone aucun œil pour souffler et mesurer l'ampleur
Les dégâts n'apparaissent qu'au lendemain de la tempête
Tout se déchire comme un voile
Tout s'éteint dans un râle
Le tout n'est plus rien
Le vide se teinte de plein
Les idées courent et s'emballent
Avalanches qui déferlent
L'esquif s'échoue alors au iles du réel
S'ancrent en ces mondes froid et de tenebres
Plus dur est le reveil au revenir de ces diggressions
Une parenthèse dans un univers gris et sous pression
Un échappatoire indispensable face à la raison
Un voyage personnel, une évasion temporaire , une simple divagation...
Harcelé par toutes ces pensées diffuses
Quand s'entrechoquent ces sensations contraires
Quand s'entremêlent ces possibilités infinie
Enroulées tels les anneaux d'un serpent endormi
Se percutant aux carrefours de l'esprit visionnaire
Un radeau étrange dans une mer de choix
Un esquif à la dérive en ce drole d'endroit
Le jour et la nuit ne sont plus que concept dans cet univers intérieur
Le mort , la vie , une simple histoire de cycles et de peurs
Et en ce voyage aux confins de la folie humaine
En ce chemin que l'on suit au gré d'une divagation
Cette excursion ou l'on se laisse guider par la peine
Ce sentier que certains s'usent à nommer la raison
Les spirales de ténèbres se déplacent dans le vide de ma tête
Leur souffle m'entraine toujours plus loin vers l'horreur
Dans ces cyclone aucun œil pour souffler et mesurer l'ampleur
Les dégâts n'apparaissent qu'au lendemain de la tempête
Tout se déchire comme un voile
Tout s'éteint dans un râle
Le tout n'est plus rien
Le vide se teinte de plein
Les idées courent et s'emballent
Avalanches qui déferlent
L'esquif s'échoue alors au iles du réel
S'ancrent en ces mondes froid et de tenebres
Plus dur est le reveil au revenir de ces diggressions
Une parenthèse dans un univers gris et sous pression
Un échappatoire indispensable face à la raison
Un voyage personnel, une évasion temporaire , une simple divagation...
lundi 16 août 2010
D'ombre et de Lumière
Quand viens la fin du jour, quand s'éteint le dernier rayon de l'astre
La nuit reprend possession des terres et du ciel, obscurité profonde
Alors sous ce ciel aux allures d'abime scintillent lentement les premières étoiles
Points lumineux et palots dans une mer de ténèbres, yeux du ciel noir
Puis vient le disque argentée, à demi caché entre deux banc de nuages flottants
Lueur douce qui se répand lentement sur les territoires assombris, domaines de la nuit
Dans cette danse empreinte de lenteur et lancinante, dans cette alchimie étrange
Se nouent lumière et ombres , entre argent et jais mouvante harmonie
Rythmé par le vent qui déplace les nuages en bancs
Animé par le torrent de lumière qui se forme lentement
Tel un serpent la forme se meut dans le ciel toute de noir et d'argent
Tel un dragon géant le phénomène parcours l'horizon au hasard des vents
Fendant les airs , survolant les montagnes le temps d'un éclair
Hurlant dans la clarté de la lune sa mère, douce et grande lumière
Et quand enfin la lune disparait dans le lointain, que le levant devient ocre et or
Quand le soleil fait disparaitre ombre et argent, quand le cycle nocturne n'est plus
Alors la créature se déchire, s'embrase et deviens cendres, soufflé par la lumière
Nuage ardent voguant dans l'azur, second soleil qui en un instant explose de vie
Les flammes retombent et alors dans le ciel se déploient deux ailes
Le feu se tait le temps d'un souffle et soudain reprend de plus belle
Phénix renaissant dans la lumière,esprit d'ombre devenu lumière
Créature remplie de magnificence voguant sous le soleil père
Symbole d'une nature indomptée entamant une nouvelle ère
Point lumineux volant aux confins de notre univers...
La nuit reprend possession des terres et du ciel, obscurité profonde
Alors sous ce ciel aux allures d'abime scintillent lentement les premières étoiles
Points lumineux et palots dans une mer de ténèbres, yeux du ciel noir
Puis vient le disque argentée, à demi caché entre deux banc de nuages flottants
Lueur douce qui se répand lentement sur les territoires assombris, domaines de la nuit
Dans cette danse empreinte de lenteur et lancinante, dans cette alchimie étrange
Se nouent lumière et ombres , entre argent et jais mouvante harmonie
Rythmé par le vent qui déplace les nuages en bancs
Animé par le torrent de lumière qui se forme lentement
Tel un serpent la forme se meut dans le ciel toute de noir et d'argent
Tel un dragon géant le phénomène parcours l'horizon au hasard des vents
Fendant les airs , survolant les montagnes le temps d'un éclair
Hurlant dans la clarté de la lune sa mère, douce et grande lumière
Et quand enfin la lune disparait dans le lointain, que le levant devient ocre et or
Quand le soleil fait disparaitre ombre et argent, quand le cycle nocturne n'est plus
Alors la créature se déchire, s'embrase et deviens cendres, soufflé par la lumière
Nuage ardent voguant dans l'azur, second soleil qui en un instant explose de vie
Les flammes retombent et alors dans le ciel se déploient deux ailes
Le feu se tait le temps d'un souffle et soudain reprend de plus belle
Phénix renaissant dans la lumière,esprit d'ombre devenu lumière
Créature remplie de magnificence voguant sous le soleil père
Symbole d'une nature indomptée entamant une nouvelle ère
Point lumineux volant aux confins de notre univers...
dimanche 15 août 2010
Un nouveau départ
Un air de renouveau qui se dépeins sur une existence un peu bancale
Un retour du coté lumineux précédé d'une période assombrie
Quand s'achève cette ère de noirceur aux allures de dépression profonde
Évoluant maintenant en un univers aux couleurs de l'astre solaire
Quand sur une voie dorée se dessinent les entrelacs de nos vies tracées
Respirant enfin cette bouffée d'air tant attendue.
Se posent enfin les jalons d'un départ nouveau dans une vision plus saine
Bienvenue sur cette route neuve aux confins de l'imaginaire et de l'esprit
Un retour du coté lumineux précédé d'une période assombrie
Quand s'achève cette ère de noirceur aux allures de dépression profonde
Évoluant maintenant en un univers aux couleurs de l'astre solaire
Quand sur une voie dorée se dessinent les entrelacs de nos vies tracées
Respirant enfin cette bouffée d'air tant attendue.
Se posent enfin les jalons d'un départ nouveau dans une vision plus saine
Bienvenue sur cette route neuve aux confins de l'imaginaire et de l'esprit
Inscription à :
Articles (Atom)